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quatre questions sur les décès d’enfants et d’adolescents

 quatre questions sur les décès d’enfants et d’adolescents


Les complications sévères liées au coronavirus sont extrêmement rares chez les jeunes. Mais lorsqu’elles apparaissent, elles ne touchent pas forcément ceux souffrant d’autres pathologies.



 Un service de réanimation dans un hôpital de Levallois-Perret, le 30 mars 2020.


Il ne s'agit pas de céder à la psychose mais le message mérite d'être martelé : personne n'est invincible face au coronavirus. À mesure que la pandémie se propage, on déplore une poignée de décès chez des patients jeunes.

En ce début de semaine, trois adolescents de 12, 13 et 19 ans ont succombé en Belgique et en Angleterre. Quelques jours plus tôt, une jeune fille de 16 ans avait perdu la vie en région parisienne, et un autre de 14 ans au Portugal. Aux Etats-Unis, dans l'Illinois, une des victimes avait elle moins d'un an …

Selon les données de Santé Publique France du 24 mars, aucun décès n'était à répertorier chez les moins de 15 ans. Par ailleurs, ils représentent seulement 2 % des hospitalisations pour suspicions de contamination. La proportion de cas graves augmente légèrement dans la tranche d'âge supérieure. Les 15-44 ans représentent 1 % des défunts et 16 % des entrées à l'hôpital. Jérôme Salomon a précisé mardi soir que 68 des 5565 personnes actuellement placées en réanimation ont moins de 30 ans. Soit 1,2 %.


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