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Du pire au meilleur, voici le classement des 9 films Fast & Furious

Du pire au meilleur, voici le classement des 9 films Fast & Furious



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Il y a 18 ans, Vin Diesel et Paul Walker donnaient au tuning ses lettres de noblesse — bien avant Need For Speed : Underground sur nos consoles. Le duo infernal du box-office des années 2000 nous a offert une franchise bouillante, qui a su évoluer quand les voitures fluo et la dubstep crado mourraient en silence pour être à l’origine d’une saga d’action costaude.

Alors qu’Hobbs & Shaw, premier spin-off de la série, vient de sortir en salles, nous avons décidé de classer les meilleurs films de la saga, du moins mauvais au meilleur — avec forcément pas mal de spoilers.

En vrai, c’est pas tant qu’il est nul. Franchement, à partir du moment où Ludacris arrive face caméra, le truc est sauvé. Mais sans Vin Diesel, la saveur n’est plus la même. On a toujours ces courses dingos, cette CGI laide comme pas deux, on est encore sur du tuning à l’ancienne, une scène de diversion dingue, et puis, Eva Mendes quoi. Mais ça ne suffit pas à remplacer Vin Diesel, désolé. Surtout pas après un premier volet aussi culte.


En 2009, le retour du duo infernal aurait pu faire plus d’étincelles, aurait dû. La présence de Gal Gadot ne suffit pas à rendre le tout aussi cool qu’avant. Mais tout ce schmilblick sur la supposée mort de Letty ne fonctionne pas autant qu’escompté.

Point néanmoins pour la pire phrase de drague de la saga, entre Gisele (Gal Gadot) qui demande à Dom (Vin Diesel) "s’il n’est pas un de ces hommes qui préfèrent les voitures aux femmes", et l’intéressé qui répond : "Je suis un de ces hommes qui apprécie un beau corps, qu’importe la marque".

La recette commence à prendre forme, mais voir l’équipe au grand complet affronter une team en tous points similaire rend l’ensemble peu crédible. Et on ne parle même pas du retour pas du tout surprise de Letty qui nous fait le coup de l’amnésie.

Heureusement que Vin Diesel traverse le cockpit d’un avion en flamme avec sa caisse, parce que sinon, on serait plus que déçu.


Ne pas avoir l’équipe au complet donne forcément une saveur un peu moins enthousiasmante à ce film franchement cool et clairement pas le plus désagréable des F&F. Le duo Hobbs/Shaw fonctionne bien, à base de punchlines dégueus (type "Je vais t’enfoncer ma botte si profond dans ton cul que je vais pouvoir te laver les dents avec mon pied") et de combat de regards risibles (donc géniaux).

Dommage que tout le tantra sur la famille et à Samoa soit aussi lourd — pour qu’on le dise en parlant d’un F&F, c’est que vraiment les gars ont poussé le délire loin.

On tend plus sur du Mission : Impossible que du F&F. Les fans seront ravis de voir la méga course-poursuite contre un sous-marin nucléaire — et nous aussi. En revanche, le coup des voitures zombies envahissant New York tient du génie, et sauve un volet qui commençait de manière fainéante. Par contre, on avait dit non pour les dreadlocks sur les cheveux blancs Charlize Theron…


On est en 2006 et le mauvais 2 Fast 2 Furious a déjà trois ans d’âge et semble avoir enterré une franchise à peine démarrée. Si Neal H. Moritz est encore à la production d’un nouveau volet, il vient cette fois-ci chercher un réalisateur qui n’a jamais filmé une voiture de sa vie, Justin Lee.

Et pour ce troisième opus, place, pour la seule et unique fois, à une action qui va se dérouler totalement dans un pays étranger aux États-Unis, ici le Japon. On suit Sean, un étudiant californien joué par Lucas Black, âgé dans la vraie vie de… 24 ans - sans déconner, ça se voit à l’écran.

Après quelques conneries à base de courses de voitures, il finit par se retrouver à Tokyo dans un autre lycée, s’incrustant par hasard parmi un groupe de drifters. Une bande-son soignée (première fois qu’on retient un morceau dans un Fast & Furious, avec la reprise de "Six Days" par DJ Shadow qui vient rencontrer Mos Def), un cinéaste qui rafraîchit une histoire qui semblait déjà avoir perdu de sa force et quelques séquences mémorables (ce fameux drift au ralenti sur les immenses passages piétons de Shibuya à Tokyo) font de Tokyo Drift le plus original des films de la franchise Fast & Furious.

En sachant que sa place, dans la chronologie de la franchise, est située entre… les 6e et 7e films. Tokyo Drift est clairement l’OVNI des Fast & Furious.

3. Fast & F



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